Notre commune vient d’être récompensée pour ses efforts en matière de développement durable par le Département de la Haute-Corse qui lui a décerné le prix d’encouragement
La population di U Poghju s’est retrouvée le 24/12 vers 19 heures sur la place de l’église autour du traditionnel feu de la Noël. Les participants ont pu admirer dans l’église San Cervone la très belle crèche réalisée par Fanfan Casatici et François Grazi avec la participation active d’Yves Potentini et Antoine Vincenti. A cette occasion, un bon vin chaud, préparé par Yves Potentini et Antoine Vincenti dans l’après-midi, a aussi été offert à la population : vu le nombre d’amateurs (une centaine de personnes), l’opération sera renouvelée l’année prochaine, Sì Dìu Vole
Samedi 20 décembre, la municipalité a distribué aux Pughjulacci une carte de vœux confectionnée par le maire et accompagnée, pour les plus anciens, d’une boite de chocolat. Pace è Salute à tutti
90 personnes étaient réunies le dimanche 7 décembre à midi pour partager un excellent repas. Au menu, cignale è pasta asciuta préparé par 6 de nos concitoyennes : Geneviève Cappuri, Denise Casatici, Martine Gregogna, Maryvonne Orsatelli, Line Poggionovo et Isabelle Vincenti. Tout le monde s’est régalé !!!. Merci aux cuisinières et à tous les participants
Première campagne de plantation de la municipalité : 7 châtaigniers greffés (origine corse, variété Bastelicacciu) ont été plantés sur le territoire communal (5 à la Scolca et 2 sur le chemin reliant Olivacce à U Supranu. Nous entendons renouveler tous les ans des opérations de ce type afin d’améliorer notre patrimoine végétal largement mis à mal par les derniers grands incendies ayant touché notre commune.
Le Jeudi 4 décembre, Madame la Sous-Préfète de l’arrondissement de Calvi, Anne Ballereau, est venue à la rencontre des élus de notre commune.
Etaient présents : Patrick de Zerbi, Eric Ghirlanda, François Grazi, Jean-Marie Leccia, Yves Leccia et Antoine Vincenti.
Durant près d’une heure, le Maire a exposé les actions menées par l’équipe municipale en insistant notamment sur les projets structurants. Ensuite, Madame la Sous-Préfète a été invitée à découvrir notre salle des fêtes ainsi que notre église paroissiale et l’oratoire Sainte-Croix que nous souhaitons restaurer. Enfin, nous nous sommes rendus sur le site du domaine viticole d’Yves et Sandrine Leccia pour une découverte de l’exploitation et une dégustation de leurs vins.
Nous avons apprécié l’écoute de Madame la Sous-Préfète ainsi que la qualité de ses observations. Nous espérons qu’elle saura nous accompagner dans la réalisation de nos projets.
42 personnes ont participé à ce troisième cours de corse pour les débutants. Les notions abordées étaient très intéressantes : consonnes « cambiarine », futur proche et vocabulaire « in giru à a cità ».
Merci de nous faire remonter vos remarques par mail si vous le souhaitez à mairie@upoghjudoletta.fr. Bonne continuation à tous.
Ce deuxième cours semble avoir été très apprécié par les 25 participants.
Conformément à ses engagements de campagne, le conseil municipal di U Poghju d’Oletta s’est doté, par délibération en date du 20/11/2014, d’un carnet des prescriptions architecturales dont l’objectif est d’assurer la bonne intégration des futurs projets de construction dans leur environnement, naturel ou urbain (constructions nouvelles ou modifications apportées aux constructions existantes). Ces prescriptions visent particulièrement à instaurer une politique paysagère destinée à préserver l’architecture, la dimension, l’implantation ou l’aspect extérieur des bâtiments et ouvrages à édifier ou à modifier, afin que ceux-ci ne portent pas atteinte au caractère ou à l’intérêt des lieux avoisinants, des sites, des paysages naturels ou urbains.
Consultée préalablement pour avis, la DDTM a émis un avis très favorable quant à l’élaboration et à la mise en œuvre de notre document.
La municipalité demande donc aux personnes ayant un projet de construction sur notre commune de prendre connaissance des dispositions contenues dans ce carnet avant tout dépôt d’une demande de permis de construire
Pour ce deuxième cours, l’affluence a été importante malgré quelques absents pour cause de santé : 40 personnes étaient présentes. Le cours a été très apprécié et le rythme convient au participants.
Discours du maire pour la Commémoration du 100ème anniversaire du début de la Grande Guerre.
Célébration de l’armistice du 11 novembre 1918.
Chers Amis,
Cari Paisani,
Célébrer le 11 novembre, fêter l'armistice de 1918, c'est d'abord commémorer la fin d'un conflit qui traumatisa le monde et laissa la Corse exsangue.
Cette célébration revêt, en outre, cette année une importance particulière puisqu'elle coïncide avec le 100ème anniversaire du début de ce conflit qui fascine toujours et auquel nous avons souhaité associer toute notre communauté villageoise.
Comment comprendre cette fascination?
Elle tient d'abord à l'ampleur, à la durée de la tragédie, à son intensité, à son caractère mondial.
Elle tient également au déluge de feu qui s'est abattu sur des combattants qui n'y étaient pas préparés, qui pensaient partir pour une guerre fraiche et joyeuse.
Elle tient aussi à l'usage des armes qui furent utilisées - armes chimiques - pour la première fois ; à ce point horrible que ces armes furent prohibées par la communauté internationale...
Par l'arrivée de nouvelles formes de guerre: l'aviation mais également le char... bref, une industrie.
Le souvenir de la Grande Guerre ne s'est depuis jamais effacé.
Il est présent dans chaque village, dans chaque ville, parce qu'il n'y a pas de commune en France où un monument aux morts n'ait été érigé, parce qu'il n'y a pas de commune où il n'y ait pas eu de victimes de la Première Guerre Mondiale.
La trace de cette guerre est inscrite également dans chaque famille, comme un patrimoine que l'on ouvre ou que l'on découvre; comme une trace qui est entretenue, de génération en génération, avec des témoignages qui sont restés de la part de ceux qui ont vécu l'horreur.
Aujourd'hui, ce sont les photos, les objets, les archives qui permettent de reconstituer le récit de la désolation, avec cette lancinante question posée: comment des soldats ont-ils pu, pendant des mois et des mois, pousser aussi loin les limites humaines et supporter cet enfer?
C'est pourquoi nous ne pouvons oublier, un siècle plus tard, ceux des nôtres qui sont descendus au fond de cet abîme et qui n'en sont pas revenus.
La Grande Guerre restera dans la mémoire collective une "sale guerre", incarnant l'exemple typique d'un conflit non seulement atroce mais surtout une tragédie meurtrière vécue comme absurde par ceux-là même qui y participèrent.
Le bilan de la Première Guerre Mondiale est lourd: environ 9 millions de morts comprenant:
- plus de 2 millions d'Allemands,
- 1,8 millions de Russes,
- 750 000 Britanniques,
- 650 000 Italiens,
- et près d'un million et demi de Français pour 8 millions de mobilisés durant le conflit (proportionnellement à sa population, la France est, après la Serbie, le pays où les pertes ont été les plus élevées).
A ces morts, sont venus s'ajouter les 25 à 50 millions de décès provoqués par l'épidémie de grippe espagnole qui s'est propagée dans tous les continents de 1918 à 1920 et qui a fait, en France, 200 000 victimes.
Le nombre de blessés, "gueules cassées", invalides, aveugles, gazés, amputés, handicapés, marqués à tout jamais dans leur chair s'élève au total à environ 6 millions et demi. Ceux-ci ont porté tout au long de leur vie des stigmates, dans leur chair, sur leur visage, la marque indélébile des épreuves.
Morts et blessés concernent presque exclusivement le sexe masculin et essentiellement les classes d'âge situées entre 19 et 40 ans, c'est à dire les forces vives, les classes d'âge les plus fécondes et correspondant aux effectifs les plus nombreux de la population active.
Ce sont les paysans qui vont payer le prix le plus fort, les nations en conflit étant encore largement rurales.
Les origines sociales modestes de ces hommes morts "au champ d'honneur" les conduisent à occuper les premières lignes sur le front.
Près de 25% à 30% des hommes tués ont moins de 27 ans.
La mort les a "fauché" dans une jeunesse propice à la procréation et a entrainé avec elle la disparition des petites exploitations agricoles qui les faisaient vivre.
Les soldats morts ont aussi laissé 3 millions de veuves et 6 millions d'orphelins.
Bien que géographiquement éloignée des différents fronts, la Corse n'en a pas moins été confrontée lourdement à ce conflit long de quatre ans.
La mobilisation insulaire a été, c'est un fait, massive... et même excessive. La sévérité de la politique de mobilisation, notamment pour "récupérer" des hommes dispensés ou inaptes, est attestée sur la durée compte tenu de l'enlisement de la guerre et de la crise des effectifs.
La Corse appartient aux régions les plus sollicitées, puisque dès 1914 la proportion des récupérés insulaires est bien supérieure à la moyenne française.
Cette situation a d'ailleurs été reconnue par Michel Rocard en 1989 alors qu'il était premier ministre et que, parlant de la Corse devant l'Assemblée Nationale, il déclara: " Le gouvernement connaît l'histoire, sait la souffrance de cette terre...pendant la guerre de 14-18..., les critères de mobilisation n'étaient pas les mêmes sur tout le territoire: La Corse fut la seule à voir mobiliser jusqu'aux pères de six enfants. Elle y a perdu, par milliers d'habitants, deux fois plus que n'importe quel département de la France continentale, et elle ne s'en est pas remise du point de vue de l'activité agricole".
La guerre a provoqué environ 12 000 morts corses. Compte tenu du nombre de mobilisés, environ 48 000, le taux de mortalité des poilus corses atteint le chiffre record de 25%. Un combattant sur quatre n'est donc pas revenu chez lui.
Dans la mesure où chaque famille insulaire a été "touchée" par la guerre, on peut comprendre que celle-ci a provoqué une grande rupture traumatique qui n'a fait qu'accélérer le déclin économique, démographique et social de notre île.
Au combat, les Corses eurent une conduite exemplaire.
Ils appartinrent à toutes les unités combattantes sans exception et participèrent à toutes les batailles. Pour chaque famille corse, les noms des Flandres, de la Marne, de l'Artois, de Verdun, de la Somme, de l'Aisne et des Dardanelles, ont signifié parfois gloire, souvent misère et ont hanté les esprits tout au long du XXème siècle.
Les deux régiments corses, le 173è régiment d'infanterie et sa réserve, le 373è RI, très rapidement envoyée au front, furent parmi les premiers à payer le prix du sang, dès le début de la guerre.
Le carnage des combats eut des répercussions profondes dans l'île. La Corse soutint l'effort de guerre en livrant ses meilleurs enfants au canon: ses paysans mais aussi ses artisans, ses intellectuels, obligeant femmes, enfants et vieillards à prendre en charge une société déjà très pauvre et saignée à blanc par l'émigration aux colonies.
Le retour de nos soldats fut pathétique... Des milliers d'entre eux ne survécurent qu'avec de lourds handicaps. Beaucoup de ces malheureux furent dans l'impossibilité de fonder une famille alors que le souvenir des atrocités hanta longtemps les nuits des plus valides.
C'est pourquoi, ceux qui vécurent cette guerre ne doivent pas être oubliés. Le sacrifice de leur jeunesse, de leur santé ou de leur vie fut immense.
Commémorer le 11 novembre 1918, c'est accomplir notre devoir de mémoire vis à vis de celles et ceux qui nous ont légué les valeurs de courage pour la défense de la démocratie et du pacifisme.
C'est également espérer dans un avenir que l'on souhaite toujours meilleur et plus solidaire.
Conscient de la nécessité de perpétuer ce souvenir, votre conseil municipal a décidé de restaurer le monument aux morts construit en 1920 et inauguré le 20 septembre de cette même année afin de rendre hommage aux valeureux combattants de notre village ayant donné leur vie pour la victoire.
Toutes les familles di U Poghju d’Oletta ont été concernées par cette guerre.
Sur la durée du conflit, l’abbé Antoine Costa, curé de notre village de 1910 à 1948, a recensé 113 de nos hommes y ayant participé.
Dans l’impossibilité de tous les nommer, je ne peux quand même pas faire moins que de citer les noms et prénoms des 17 Pughjulacci morts au cours de cette guerre en témoignage du respect que nous leur devons.
Ayons donc, en ce jour, une pensée particulière pour:
Et, en mémoire de nos morts de la Grande Guerre, j'ai souhaité vous faire partager ce magnifique poème intitulé "La Voie des Tombes" écrit par Charles Albert Poirier, caporal au 97e RI, tombé le 23 mars 1917:
La Voix des Tombes
Lorsque vous passerez après nous sur la route
Où nous avons peiné, ou nous avons souffert
Sans avoir d'autre abri que la céleste voûte,
Lorsque tous les démons rentreront en enfer,
Lorsque la paix enfin renaîtra sur le monde,
Vous chercherez en vain la trace de nos pas ?
D'autres auront passé dans l'orage qui gronde ;
Nous aurons disparu des choses d'ici-bas,
Dans la plaine de sang où nous serons tombés ;
Quelques croix, seulement, au milieu des épeautres
Diront dans quels sillons nous aurons succombé.
Peut-être bien qu'alors, les yeux mouillés de larmes.
Vous vous arrêterez sur nos jeunes tombeaux
Où nous fûmes couchés dans le fracas des armes.
Vous jetterez des fleurs et des lauriers nouveaux
Sur des noms inconnus, ignorés de la foule,
Et vous vous souviendrez de vos jeunes aînés
Que la mort a saisis comme un torrent qui roule
Des arbres, des rochers, par le flot entraînés...
Lorsque le soir viendra, assis à votre table
Entourés de bonheur, d'amour et de douceur.
Que vous respirerez une joie ineffable.
Pensez, pensez à nous dans vos fêtes du cœur !
Vous songerez alors que, si la vie est douce,
Si votre femme est belle et vous sourit toujours,
Si votre nid d'amour est bâti sur la mousse,
Si vos enfants rieurs égaient vos alentours.
C'est parce qu'autrefois de fiers soldats
Ont quitté pour toujours les espoirs d'ici-bas,
Qu'ils ont abandonné les lieux de leur enfance,
Qu'ils sont partis gaiement ne se retournant pas,
Que la terre leur fut une sûre défense
Où pendant de longs mois ils se tinrent cachés,
Et parce qu'ils sont morts dans les plaines immenses
Où comme de grands blés ils ont été fauchés !
Afin que notre hommage soit complet, je vais maintenant passer le flambeau à Anghjula Potentini qui va nous interpréter la très belle chanson écrite par les frères Vincenti "Ritrattu" qui rend hommage aux jeunes poilus corses qui ont donné leur vie pendant la Grande Guerre.
Merci
Premier cours de corse pour les confirmés assuré par Paul-Noël Giacomoni – 23 personnes y ont participé dans une ambiance très sympathique et le cours a été très intéressant.
Premier cours de corse pour les débutants assuré par Stéphane Mendella – plus de 30 personnes y ont participé – le début est prometteur et le professeur a été apprécié.
Dimanche 12 octobre U Poghju d’Oletta a fêté avec ferveur la San Cervone.
Après la messe célébrée par l’abbé Nicoli avec la participation de nombreux confrères, les habitants du village et leurs invités (plus de 150 personnes) se sont réunis dans la convivialité à la salle des fêtes pour un apéritif dînatoire offert par la municipalité, l’association Maria Gentile et Mr et Mme Laurent Gamelon, nouveaux pughjulacci.
Merci à celles et à ceux qui ont réalisé les bons desserts dont nous nous sommes régalés.
Merci à toutes et à tous.
Et à l’année prochaine, si Diu vole.
Vergogna à tè chì imbrutti a nostra terra
Honte à celui qui souille notre terre
Dimanche 21 septembre, la municipalité a organisé une opération éco-citoyenne intitulée "Strada Netta", dont l'objectif était de nettoyer les bas côtés du chemin départemental reliant notre village au col de Teghime.
Cette action a connu un franc succès: plus de 30 personnes y ont participé, ce qui a permis de collecter de nombreux déchets (le contenu de la benne d'un camion et celui des deux pick-up municipaux !).
L'équipe municipale tient à remercier chaleureusement l'ensemble des participants pour cet élan citoyen.
Tous, nous avons été consternés de constater que certains n'ont pas compris l'importance de respecter notre environnement qui constitue pourtant notre cadre de vie: comment peut-on imaginer qu'on puisse abandonner dans la nature un four, un WC, une douche, un piano, des postes de radio, des téléviseurs, des gravats, des bouteilles en verres, des bouteilles en plastique, des emballages variés, des centaines de Cassettes VHS, des batteries usagées, des pneus,...et j'en passe.
Formons le vœu, au delà du nettoyage réalisé, que cette opération soit reprise par d'autres afin que notre nature soit débarrassée de cette pollution et qu'elle serve de prise de conscience pour tous ceux qui en sont à l'origine et qui ne semblent pas mesurer les conséquences de leurs actes d'incivilité.
Le combat n'est pourtant pas terminé: restons vigilants afin que notre terre soit respectée!
Un grand merci à tous.
Retour de mission de l’équipe de bénévoles, élus et autres citoyens du village
Les participants à leur retour à la salle des fêtes, sans oublier :
Jean-Marie Leccia (le photographe), Pierre Vacher et Jo Giacobbi
Après l’effort le réconfort : le repas des participants à la salle des fêtes
Présents : François CASATICI, Jean-Paul GREGOGNA et Antoine VINCENTI
Débits constatés, par source :
Sant’Antone 1 : 5 litres/minute, soit 0,3 m3/h,
Sant’Antone 2 : 19 litres/minute, soit 1,1 m3/h,
Pietralarella : 40 litres/minute, soit 2,4 m3/h,
Erbajolo 1 : 11 litres/minute, soit 0,7 m3/h,
Erbajolo 2 : 9 litres/minute, soit 0,5 m3/h,
Erbajolo 3 : 15 litres/minutes, soit 0,9 m3/h,
Erbajolo 4 : 1 litre/minute, soit 0,1 m3/h,
Petricajo : 13 litres/minute, soit 0,8 m3/h,
Total : 114 litres/minute, soit 6,8 m3/h.
Au total, on constate que le débit des sources qui était de 245 litres/minute, soit près de 15 m3/h, en début de saison (1ère mesure effectuée le 11/05) a chuté de 53%, à 114 litres/minute lors de cette dernière mesure (rappel : à l’occasion de la 2ème mesure effectuée le 21/06, le débit global était de 183 litres/minute, soit 11 m3/h).
Comme nous l’avons déjà signalé, cette situation préoccupante est la conséquence du peu de précipitations dont a bénéficié notre village au cours de la dernière année.
Vivement que les pluies reviennent vite d’autant que notre ruisseau est à quasiment à sec !
La municipalité envisage de faire réaliser un deuxième forage dans le but d’économiser les eaux de surface.
Présents :
Antoine VINCENTI
Yves POTENTINI
Discours du maire - Discorsu di u merre
Monsieur le représentant du Député, mon ami Jean Liguori,
Monsieur le Conseiller Général,
Mesdames et Messieurs les élus et anciens élus,
Mesdames, Messieurs,
Chers Amis,
Cari Amichi,
Je suis très heureux de vous accueillir pour notre manifestation festive communale qui débute en ce lieu et qui se poursuivra sur le parvis, à partir de 20h.
Notre patrimoine religieux est une source
d'étonnement et d'émerveillement mais c'est aussi la mémoire de notre village: c'est notre mémoire...(télécharger pour obtenir la suite du discours)
Résultat de la mesure des débits
Réservoirs: remplis à 100% - trop plein actif (se déverse dans le réservoir d'Olivacce)
Débit des sources:
Sant'Antone 1: 18l/minute, soit 1,1 m3/H
Sant'Antone 2: 25l/minute, soit 1,5 m3/H
Pietralarella: 67l/minute, soit 4 m3/H
Erbajolo 1: 18l/minute, soit 1,1 m3/H
Erbajolo 2: 13l/minute, soit 0,8 m3/H
Erbajolo 3: 19l/minute, soit 1,1 m3/H
Erbajolo 4: 2l/minute, soit 0,1 m3/H
Petricajo: 21l/minute, soit 1,3 m3/H
Présents:
Jean-Marie LECCIA
Antoine VINCENTI
Résultat de la mesure des débits
Le constat est que le débit a quand même chuté depuis notre visite aux sources le 11/05.
Débits constatés :
Il ne faut pas en être surpris : l’hiver 2013/2014 et le printemps ne nous ont amené que peu de précipitations (pas de neige et peu de pluie).
Présents:
Yves POTENTINI,
Antoine VINCENTI
Résultat des élections européennes
Inscrits : 209
Abstentions : 79
Votants : 130
Nuls : 3
Exprimés : 127
Taux de Participation : 62,5%
Opération visite des sources et mesure des débits.
Départ à 8h avec les 2 4X4.
Route difficile: de nombreuses pierres sont sur la piste.
On a débuté notre visite par les sources les plus hautes.
Débits constatés :
Ces deux dernières sources sont actuellement laissées dans la nature. Nous avons constaté un problème à leur niveau puisque le débit de la vidange du collecteur de ces deux sources ne représente même pas le tiers du débit de la source Erbajolo 3.
Décision a été prise de remonter mardi 13/05 à 15h (Fanfan, JML et AV) pour rechercher le problème de débit des sources Erbajolo 3 et 4 et mesurer le débit de la source Petricajo.
Retour 12h30.
Présents:
François CASATICI,
Manu DAVID,
Eric GHIRLANDA,
François GRAZI,
Jean-Marie LECCIA,
Yves LECCIA,
Yves POTENTINI,
Antoine VINCENTI.
Complément mesure du débit des sources (comptages effectués le 13/05 et le 15/05) :
- Source Erbajolo 4 (ex Harter) : 3 L/minute, soit 0,2 M3/H,
Source Petricajo : 27 L/minute, soit 1,6 M3/H